Biographie de René Dufresne
Je m’appelle René Dufresne, j’ai trois grands enfants et je suis entrepreneur en construction. Je viens d’une famille de 6 enfants et la musique a toujours fait partie de nos réunions familiales.
Ma mère, Gisèle Lacroix, a fait partie d’un chœur dans son enfance. Elle m’a même raconté avoir enregistré un disque sans que j’aie pu l’écouter puisque les souris qui avaient élu domicile dans notre grenier l’ont grignoté…
Déjà à l’âge de 9 ans, la directrice de l’école «Cœur Immaculé», que je fréquentais à cette époque, me convoquait à son bureau pour me faire chanter dans les haut-parleurs de l’école, des chants religieux et même l’alphabet de Mozart. Elle savait que je faisais partie de la chorale de l’église «Cœur-Immaculé de Marie» à Sherbrooke, devenue aujourd’hui la Salle du Parvis.
Ma mère, Gisèle Lacroix, a fait partie d’un chœur dans son enfance. Elle m’a même raconté avoir enregistré un disque sans que j’aie pu l’écouter puisque les souris qui avaient élu domicile dans notre grenier l’ont grignoté…
Déjà à l’âge de 9 ans, la directrice de l’école «Cœur Immaculé», que je fréquentais à cette époque, me convoquait à son bureau pour me faire chanter dans les haut-parleurs de l’école, des chants religieux et même l’alphabet de Mozart. Elle savait que je faisais partie de la chorale de l’église «Cœur-Immaculé de Marie» à Sherbrooke, devenue aujourd’hui la Salle du Parvis.
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Je m’en voudrais de ne pas souligner l’apport considérable dans mon cheminement en chant de Louise de La Bruère. Elle dirigeait la chorale «Cœur-Immaculé de Marie» et elle m’a enseigné le piano pendant 2 ans.
À l’adolescence, mon cœur balançait entre la musique et le soccer. J’ai fait partie d’un groupe de musique de l’âge de 15 à 18 ans. Je suis parti en tournée en Abitibi à l’âge de 17 ans. Ouf ! J’ai sans doute contribué à une poussée de cheveux blancs sur la tête de mes parents. Par la suite, je me suis consacré à mon sport et j’ai délaissé quelque peu la musique.
Mon père, Marcel Dufresne, faisait partie du Chœur Florilège de Sherbrooke et j’ai assisté à chacun de ses spectacles. Il faisait partie du pupitre des basses. C’est ainsi que vers l’âge de 40 ans, j’ai renoué avec le chant en auditionnant pour ce chœur. Pendant 10 ans, j’ai fait partie du pupitre des ténors. Les cinq premières années avec ce chœur m’auront permis de retrouver Mme de La Bruère qui le dirigeait de main de maître. Je garde de merveilleux souvenirs de ces belles années avec le Chœur Florilège dont ces deux années où mes trois enfants ont partagé la même scène que moi : Véronique, soprano; David, basse; et Vincent, technicien de scène.
À l’adolescence, mon cœur balançait entre la musique et le soccer. J’ai fait partie d’un groupe de musique de l’âge de 15 à 18 ans. Je suis parti en tournée en Abitibi à l’âge de 17 ans. Ouf ! J’ai sans doute contribué à une poussée de cheveux blancs sur la tête de mes parents. Par la suite, je me suis consacré à mon sport et j’ai délaissé quelque peu la musique.
Mon père, Marcel Dufresne, faisait partie du Chœur Florilège de Sherbrooke et j’ai assisté à chacun de ses spectacles. Il faisait partie du pupitre des basses. C’est ainsi que vers l’âge de 40 ans, j’ai renoué avec le chant en auditionnant pour ce chœur. Pendant 10 ans, j’ai fait partie du pupitre des ténors. Les cinq premières années avec ce chœur m’auront permis de retrouver Mme de La Bruère qui le dirigeait de main de maître. Je garde de merveilleux souvenirs de ces belles années avec le Chœur Florilège dont ces deux années où mes trois enfants ont partagé la même scène que moi : Véronique, soprano; David, basse; et Vincent, technicien de scène.
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En 2005 et 2006, j’ai fait partie de la production de la comédie musicale «De Juliette à Don Juan» à titre de choriste et de figurant. J’ai donc travaillé avec Marie-Claude Beaudoin qui dirigeait les choristes pour cette production.
À différentes étapes de mon parcours, j’ai suivi plusieurs formations en chant classique et populaire. Ainsi, j’ai pu profiter des précieux conseils de Louise Deslongchamps, Linda Murchy et plus récemment, Claire Mercier.
À l’été 2011, avec deux autres membres de notre quatuor, j’ai suivi la formation au camp jazz vocal du Domaine Forget à St-Iréné. J’y ai décroché la bourse de l’étudiant s’étant le plus démarqué. Bel honneur pour celui qui n’a jamais vraiment aimé l’école ! Je faisais partie du pupitre des ténors. Contre toute attente, j’ai partagé la scène du Domaine Forget avec mes deux collègues, Isabelle et Nathalie, dans le cadre du «master class». Nous avons eu l’honneur de recevoir les conseils de Darmen Meader, membre fondateur du groupe «New-York Voices».
À différentes étapes de mon parcours, j’ai suivi plusieurs formations en chant classique et populaire. Ainsi, j’ai pu profiter des précieux conseils de Louise Deslongchamps, Linda Murchy et plus récemment, Claire Mercier.
À l’été 2011, avec deux autres membres de notre quatuor, j’ai suivi la formation au camp jazz vocal du Domaine Forget à St-Iréné. J’y ai décroché la bourse de l’étudiant s’étant le plus démarqué. Bel honneur pour celui qui n’a jamais vraiment aimé l’école ! Je faisais partie du pupitre des ténors. Contre toute attente, j’ai partagé la scène du Domaine Forget avec mes deux collègues, Isabelle et Nathalie, dans le cadre du «master class». Nous avons eu l’honneur de recevoir les conseils de Darmen Meader, membre fondateur du groupe «New-York Voices».
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Mario, étant sans l’ombre d’un doute un ténor, j’ai dû adopter la ligne mélodique de basse au sein de notre groupe. À mon grand étonnement, j’ai appris à redécouvrir ma voix sous un autre jour. C’est dire que le hasard fait bien les choses ! Ou peut-être est-ce l’hérédité ? Peu importe puisque j’éprouve un grand plaisir à faire vibrer ma voix avec ces sons à la fois graves et mélodieux.
Enfin, Statera est une belle continuité à ce rêve de jeunesse inachevé, c’est-à-dire l’envie que j’ai toujours eu de mettre la musique en avant-plan dans ma vie. Et quoi de plus inspirant que de partager cette passion avec mes amis très précieux. Je suis comblé !
Merci de me suivre dans cette belle aventure !
René
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Enfin, Statera est une belle continuité à ce rêve de jeunesse inachevé, c’est-à-dire l’envie que j’ai toujours eu de mettre la musique en avant-plan dans ma vie. Et quoi de plus inspirant que de partager cette passion avec mes amis très précieux. Je suis comblé !
Merci de me suivre dans cette belle aventure !
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