Biographie de Nathalie Robidoux
Comme vous le savez, je me nomme Nathalie Robidoux et j'ai une grande passion dans ma vie et vous aurez deviné que c’est le chant.
Cette passion pour le chant, je l’ai depuis aussi longtemps que je me rappelle ! Je me souviens de ces heures passées à enregistrer les chansons de «La mélodie du bonheur» quand le film passait à Télé-Métropole dans l’temps de Noël. Avec un magnétophone portatif, je me collais le plus près possible du haut-parleur de la télévision pour capter ces chansons que j’interprétais à tue-tête au grand dam de ma grande sœur…
Cette passion pour le chant, je l’ai depuis aussi longtemps que je me rappelle ! Je me souviens de ces heures passées à enregistrer les chansons de «La mélodie du bonheur» quand le film passait à Télé-Métropole dans l’temps de Noël. Avec un magnétophone portatif, je me collais le plus près possible du haut-parleur de la télévision pour capter ces chansons que j’interprétais à tue-tête au grand dam de ma grande sœur…
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J’ai commencé à chanter plus sérieusement en groupe lorsque j’étais à l’école primaire. Je faisais partie de la chorale de l’église St-Josaphat à Ville Lemoyne et je chantais à la messe à tous les dimanches. Je me surprends à connaître encore les phrases chantées par le curé quand je vais à l’église pour des funérailles, un mariage ou un baptême… Un de mes plus beaux souvenirs est quand Mme Jacqueline Masson, notre directrice musicale de l’époque, me choisissait pour chanter «Adeste fideles» à la messe de minuit; c’était mon chant de Noël préféré. Je suis encore un peu nostalgique quand je l’entends. C’est là ma première expérience de soliste en public. Avec cette chorale, nous avons chanté des pièces folkloriques à Terre des hommes à l’île Notre-Dame à Montréal. Avec ma jupe paysanne et ma blouse blanche à grandes manches, j’entonnais des pièces de Vigneault et de Leclerc à l’ancien site de l’expo ’67 avec ma petite chorale d’église. Quelle belle expérience pour moi et mes amis ! C’était au début des années ‘80.
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Par la suite, j’ai délaissé le chant pendant plusieurs années pour faire place au ballet jazz. Comme ma mère n’était pas très fortunée, je payais mes cours de danse avec les sommes amassées lors de mes activités de gardiennage. J’ai fait de la danse dès l’âge de 13 ans jusqu’à ma deuxième grossesse, soit à l’âge de 27 ans. Je peux dire que la danse a également été une grande passion dans ma vie. Par contre, je n’ai jamais cessé complètement de chanter, pour moi, pour mes enfants. Et un jour, par un heureux hasard, j’ai lu dans un journal local de la ville de Boucherville que le chœur «Les Tournesols» était à la recherche de choristes. J’ai passé l’audition, chose que je n’avais jamais fait de ma vie, et j’ai été choisie pour chanter au pupitre des sopranos de niveau 1. L’aventure a duré 3 ans et je suis déménagée en Estrie pour le travail. Il n’était pas question que j’arrête de chanter alors j’ai auditionné pour le Chœur Florilège de Sherbrooke et j’ai chanté avec ce beau groupe pendant 5 ans. Au sein de ce groupe, j’ai fait connaissance avec René et Isabelle qui font tous deux partie de notre merveilleux quatuor. J’ai connu Mario un peu plus tard et je vais lui laisser le plaisir de vous raconter comment nos chemins se sont croisés.
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Je m’en voudrais de passer sous silence l’apport précieux au perfectionnement de ma voix de mes deux professeurs de chant : Linda Murchy et Claire Mercier.
Aussi, j’ai vécu une expérience fabuleuse avec Isabelle et René au camp jazz vocal du Domaine Forget à St-Iréné en 2011. On peut appeler cette expérience «sortir de sa zone de confort» ! Et que de défis vécus: l’apprentissage de pièces jazz avec des onomatopées à n’en plus finir et le «master class» avec l’impressionnant ténor et saxophoniste du groupe New-York Voices, Darmon Meader… Cette expérience m’a permis de redécouvrir ma voix sous un autre jour et je peux dire qu’elle m’a inspirée cette ambition de chanter seule avec ma ligne mélodique au sein d’un groupe comme Statera.
Statera est le plus beau de mes défis vocaux. Je souhaite sincèrement pouvoir vous transmettre ma passion pour le chant avec ma voix qui s’amalgame à celles de mes trois grands amis puisque, pour moi, la voix est le plus bel instrument...
Musicalement vôtre,
Nathalie
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Aussi, j’ai vécu une expérience fabuleuse avec Isabelle et René au camp jazz vocal du Domaine Forget à St-Iréné en 2011. On peut appeler cette expérience «sortir de sa zone de confort» ! Et que de défis vécus: l’apprentissage de pièces jazz avec des onomatopées à n’en plus finir et le «master class» avec l’impressionnant ténor et saxophoniste du groupe New-York Voices, Darmon Meader… Cette expérience m’a permis de redécouvrir ma voix sous un autre jour et je peux dire qu’elle m’a inspirée cette ambition de chanter seule avec ma ligne mélodique au sein d’un groupe comme Statera.
Statera est le plus beau de mes défis vocaux. Je souhaite sincèrement pouvoir vous transmettre ma passion pour le chant avec ma voix qui s’amalgame à celles de mes trois grands amis puisque, pour moi, la voix est le plus bel instrument...
Musicalement vôtre,
Nathalie
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